Wwoofing sont donc les initiales de Willing Workers On Organics Farms I N G, soit mon expérience tout juste vécue dans ma famille des Middlands (région où je vivais en Tasmanie). Bien que l’article précédent laisse entrevoir quelques journées difficiles, le bilan en est plus que positif 🙂
Là, c’était ma chambre. Simple mais agréable, surtout le lit double et la serviette éponge (les serviettes en microfibres Décathlon sont vraiment géniales niveau gain de place, mais alors pour absorber l’eau, on n’y est pas encore 😉 ). Sinon j’ai côtoyé bon nombre de bestioles et insectes pendant cette période. Pour ceux qui ne le savent pas, j’ai la phobie des araignées. Je me suis forcément fait quelques frayeurs…
Mon lieu de vie était donc 100% nature dans cette ferme perdue du bush. A ce propos, savez-vous qu’1/3 du territoire de la Tasmanie est classé réserve naturelle ? On comprend alors mieux pourquoi l’air le plus pur au monde se situe ici !
Ci-dessous, Miss Muphet, l’animal le plus vieux de la ferme : un shetland de 37 ans !
Ici, lors de mes moments préférés : les balades à cheval dans le bush tasmanien. Je vous présente Miki, mon chouchou.
Avec ma famille, on se rendait à Richmond chaque dimanche pour assister à la messe. Cette ville historique comporte le plus vieux pont d‘Australie, édifié en 1823.
Enfin, nous avons passé une journée country à Ross, pour un concours de Rodéo. Première fois que je voyais ça de si près. La taille des bœufs, les cabrements des chevaux, c’est vraiment impressionnant ! J’ai aussi eu droit au concours de taillage de bois à la scie, à la hache, etc. Les Tasmaniens c’est comme les américains, ils font des concours pour tout et n’importe quoi.
Mercredi 12 février 2014
J’ai donc quitté cette famille d’accueil après 3 semaines de coopération et d’échange. Forcément, ça créé des liens. C’est donc avec beaucoup d’émotions, de leur côté comme du mien, que je suis montée dans le bus pour Launceston. Ils m’ont pourtant proposé de rester 1 an dans leur ferme, mais il était temps pour moi de continuer la suite de la visite en Tasmanie 🙂
Ah aussi, Philip (le mari de Sabine) m’a avoué que s’il avait eu un fils dans sa vie ils n’ont pas d’enfants), il aurait bien voulu que je sois sa belle-fille ! Avis à mes futurs beaux-parents hi hi hi 😉